Pierre Vendel est né à Metz. Il est professeur de lettres depuis 1993. C’est au début des années 80, en écoutant « La vie ne m’apprend rien » de Daniel Balavoine, qu’il considérait comme une sorte de père spirituel, qu’il a pris conscience du pouvoir et de la beauté des mots : « Les lois ne font plus les hommes mais quelques hommes font la loi ». Ce chiasme a été le déclic poétique, la prise de conscience de la beauté de la langue, il a déclenché en lui l’envie de créer à son tour, le désir de jouer avec les mots, de les manipuler, de les faire rimer, mais également d’exprimer des idées aussi belles que rebelles. En 1984, il a donc écrit son premier texte poétique, sur le mur de Berlin (certainement, là encore, l’influence de Balavoine). Les poésies se sont ainsi enchaînées… et se sont régulièrement entassées au fond d’un tiroir, jusqu‘au jour où … Pierre Vendel publie, en avril 2009, au Chasseur Abstrait , un éditeur ariégeois, un premier recueil de poé...