Pierre Vendel est né à Metz. Il
est professeur de lettres depuis 1993.
C’est au début des années 80, en écoutant « La vie ne m’apprend rien » de Daniel Balavoine, qu’il considérait comme une sorte de père spirituel, qu’il a pris conscience du pouvoir et de la beauté des mots : « Les lois ne font plus les hommes mais quelques hommes font la loi ». Ce chiasme a été le déclic poétique, la prise de conscience de la beauté de la langue, il a déclenché en lui l’envie de créer à son tour, le désir de jouer avec les mots, de les manipuler, de les faire rimer, mais également d’exprimer des idées aussi belles que rebelles. En 1984, il a donc écrit son premier texte poétique, sur le mur de Berlin (certainement, là encore, l’influence de Balavoine). Les poésies se sont ainsi enchaînées… et se sont régulièrement entassées au fond d’un tiroir, jusqu‘au jour où …
Pierre Vendel publie, en avril 2009, au Chasseur Abstrait, un éditeur ariégeois, un premier recueil de poésies très diverses, intitulé Funambule. En mai 2010 parait un deuxième recueil : Le Passant, recueil qui a obtenu en 2013 à Beyrouth au Liban, le prix Naji Naaman de la créativité et qui regroupe notamment des textes satiriques et engagés sur la société du XXIème siècle.
Viens me retrouver, son premier roman, paraît en 2012, roman qui retrace les difficultés d’un écrivain qui écrit son propre roman et qui va être hanté par le personnage qu’il a, lui-même, crée. Deux ans plus tard, toujours aux éditions du Chasseur Abstrait, il publie un deuxième roman intitulé La Vérité tue qui raconte l’histoire de Samuel Spielmann, un Lorrain à la recherche de son passé et qui va découvrir l’abominable vérité au sujet de son existence…
En 2016, Pierre Vendel rompt son contrat avec Le Chasseur Abstrait et s’engage avec les Editions des Paraiges qui rééditent son roman « La vérité tue » ainsi que son recueil de poésies «Le Passant ».
En octobre 2017, il publie avec ce nouvel éditeur son troisième roman L’inconnue de la rue du Lancieu, un récit autobiographique dans les premières pages, qui explore ensuite l’univers fantastique des mondes parallèles.
En avril 2019, son premier roman, « Viens me retrouver » est lui aussi réédité aux Editions des Paraiges.
Durant la période du confinement en avril et mai 2020, il rédige une vingtaine de poésies qui décrivent le quotidien de l’enfermement et les différents ressentis consécutifs à la gestion de la crise sanitaire. Ce recueil qui s’intitule Confinement à quatre mains a été réalisé en collaboration avec l’artiste peintre Dominique Friggi qui met ainsi des images sur les mots.
Son quatrième roman #JeEstUnAutre? qui paraitra en juin 2021, toujours aux Editions des Paraiges, met en scène un personnage totalement épris de sa collègue de travail et pose la question de la puissance de nos rancœurs sur le destin de ceux que l’on déteste.
C’est au début des années 80, en écoutant « La vie ne m’apprend rien » de Daniel Balavoine, qu’il considérait comme une sorte de père spirituel, qu’il a pris conscience du pouvoir et de la beauté des mots : « Les lois ne font plus les hommes mais quelques hommes font la loi ». Ce chiasme a été le déclic poétique, la prise de conscience de la beauté de la langue, il a déclenché en lui l’envie de créer à son tour, le désir de jouer avec les mots, de les manipuler, de les faire rimer, mais également d’exprimer des idées aussi belles que rebelles. En 1984, il a donc écrit son premier texte poétique, sur le mur de Berlin (certainement, là encore, l’influence de Balavoine). Les poésies se sont ainsi enchaînées… et se sont régulièrement entassées au fond d’un tiroir, jusqu‘au jour où …
Pierre Vendel publie, en avril 2009, au Chasseur Abstrait, un éditeur ariégeois, un premier recueil de poésies très diverses, intitulé Funambule. En mai 2010 parait un deuxième recueil : Le Passant, recueil qui a obtenu en 2013 à Beyrouth au Liban, le prix Naji Naaman de la créativité et qui regroupe notamment des textes satiriques et engagés sur la société du XXIème siècle.
Viens me retrouver, son premier roman, paraît en 2012, roman qui retrace les difficultés d’un écrivain qui écrit son propre roman et qui va être hanté par le personnage qu’il a, lui-même, crée. Deux ans plus tard, toujours aux éditions du Chasseur Abstrait, il publie un deuxième roman intitulé La Vérité tue qui raconte l’histoire de Samuel Spielmann, un Lorrain à la recherche de son passé et qui va découvrir l’abominable vérité au sujet de son existence…
En 2016, Pierre Vendel rompt son contrat avec Le Chasseur Abstrait et s’engage avec les Editions des Paraiges qui rééditent son roman « La vérité tue » ainsi que son recueil de poésies «Le Passant ».
En octobre 2017, il publie avec ce nouvel éditeur son troisième roman L’inconnue de la rue du Lancieu, un récit autobiographique dans les premières pages, qui explore ensuite l’univers fantastique des mondes parallèles.
En avril 2019, son premier roman, « Viens me retrouver » est lui aussi réédité aux Editions des Paraiges.
Durant la période du confinement en avril et mai 2020, il rédige une vingtaine de poésies qui décrivent le quotidien de l’enfermement et les différents ressentis consécutifs à la gestion de la crise sanitaire. Ce recueil qui s’intitule Confinement à quatre mains a été réalisé en collaboration avec l’artiste peintre Dominique Friggi qui met ainsi des images sur les mots.
Son quatrième roman #JeEstUnAutre? qui paraitra en juin 2021, toujours aux Editions des Paraiges, met en scène un personnage totalement épris de sa collègue de travail et pose la question de la puissance de nos rancœurs sur le destin de ceux que l’on déteste.
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