Agnès SIGNANI a grandi dans le bassin de Longwy où elle est née, avant de s’installer dans la toute proche périphérie de Metz. Elle y séjourne toujours, y a fondé une famille, et a exercé son activité professionnelle dans le secteur social avec passion durant près de quarante ans. Elle s’adonne maintenant à l’écriture, une promesse qu’elle s’était faite il y a longtemps déjà.
Quelques publications privées ont été réalisées pour ses petits-enfants. Elles retracent pour chacun le ressenti d’une « grand-mère en gestation » à partir d’un carnet de notes rédigé en secret durant la grossesse de leur maman, et jusqu’à leur deuxième anniversaire. La remise de ce cadeau aux intéressés adolescents et à leurs parents s’est faite il y a peu.
En septembre 2019, elle publie un ouvrage autoédité intitulé « le lien », un récit de vie autobiographique suite au décès brutal de son fils. La perte d’un être cher, la mort, des sujets tabous qui renvoient à un malaise, un mal-être. Elle voulait témoigner de ses ressentis personnels résilients et signifier qu’il est possible de survivre et de vivre !
Son premier roman « les trois filles de l’instit » est disponible. Marie, Mireille, Annie, trois sœurs sexagénaires, dévoilent le parcours singulier de leurs aïeuls, leur histoire familiale, l’antre de l’école dans lequel elles ont grandi. Elles relatent le vécu atypique de leur enfance, de leur adolescence et de jeune adulte. Des fragments de vie communs ou tus depuis longtemps, enfouis depuis tant d’années.
Tel un puzzle en cours de construction, elles découvrent comme par magie ce qui soudain s’affiche avec force à l’automne de leur vie : des mots sur les maux, une libération.
Un périple dans le pays ardennais, mais surtout en Lorraine dans le « Pays-Haut », lieu d’ancrage de cette famille.
Un récit pathétique, intimiste, des scènes comiques, burlesques, qui constituent les ingrédients de la vie.
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